Bataille de La Nouvelle-Orléans
bataille de la guerre anglo-américaine de 1812 / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Cet article concerne la bataille de 1815 entre les États-Unis et le Royaume-Uni. Pour la bataille de la guerre de Sécession, voir Bataille de La Nouvelle-Orléans (1862).
La bataille de La Nouvelle-Orléans, qui eut lieu le en Louisiane, est la dernière bataille de la guerre anglo-américaine de 1812[3]. Les forces britanniques, débarquées dans ce territoire récemment acquis par les États-Unis lors de la vente de la Louisiane, sont vaincues par les hommes d'Andrew Jackson (futur président des États-Unis) avec l'aide des canons de Jean Lafitte.
Date |
et |
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Lieu | Chalmette, près de La Nouvelle-Orléans |
Issue | Victoire décisive des États-Unis |
Royaume-Uni | États-Unis |
• Edward Pakenham † • Sir Alexander Cochrane • John Keane |
• Andrew Jackson • Jean Lafitte • Daniel Patterson |
8 000 hommes[1] | 5 700 hommes[2] |
386 morts 1 521 blessés 552 disparus |
55 morts 185 blessés 93 disparus |
Batailles
Coordonnées | 29° 56′ 33″ nord, 89° 59′ 27″ ouest |
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Cette bataille se déroule alors que le traité de Gand mettant fin à la guerre était déjà signé depuis le , bien qu'il ne sera ratifié par le Sénat des États-Unis que le . La bataille de La Nouvelle-Orléans est souvent considérée comme la plus grande victoire terrestre américaine de la guerre, et eut un impact symbolique important pour les États-Unis.