Lautsi et autres contre Italie
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Lautsi et autres c. Italie ou « affaire des crucifix » est le nom d'un contentieux porté devant la CEDH. Dans un premier temps, le , les juges de Strasbourg concluent à l'unanimité que la présence de crucifix dans les salles de classe italiennes constitue une violation de l'article 2 du Protocole 1 à la Convention européenne des droits de l'homme (droit à l'instruction) et de l'article 9 de la Convention (liberté de pensée, de conscience et de religion)[1]. Dans un second temps, un revirement de jurisprudence est opéré par la Grande Chambre le . Celle-ci considère finalement que la question relève de la « marge d'appréciation » laissée aux États, sous contrôle de la Cour, notamment en raison de l'absence de consensus entre parties au Conseil de l'Europe[2].
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