Portail:Psychologie
sophrologie / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
|
La thèse de doctorat en psychiatrie qu’il soutient en 1932 reflète en partie l’influence des surréalistes qu’il fréquente. En analyse avec Rudolph Loewenstein, il intègre la Société psychanalytique de Paris (SPP) en 1934 et en est élu membre titulaire en 1938. Ses premières communications concernent son interprétation de l’épreuve du miroir, qui donnent lieu à l’invention du stade du miroir en psychanalyse.
C’est après la Seconde Guerre mondiale que son enseignement de la psychanalyse prend de l’importance. L’aspect polémique de certains de ses thèmes – le retour à Freud, ses idées structuralistes, sa manière d’envisager la cure – conduisent à plusieurs scissions avec la SPP et les instances internationales. Tout en poursuivant ses recherches, Lacan enseigne quasiment jusqu’à sa mort : successivement à l’hôpital Sainte-Anne, à l’École normale supérieure, puis à la Sorbonne.
Figure contestée, Lacan a marqué le paysage intellectuel français et international, tant par les disciples qu’il a suscités que par les rejets qu’il a provoqués.
C'est une photo d'une tache d'encre qui ne fait pas partie de l'ensemble des planches du test de Rorschach, mais y ressemble.
« N'oublions pas non plus que les enfants doués ne sont pas toujours précoces ; leur développement est plutôt lent et leurs capacités restent parfois fort longtemps à l'état de latence. » |
||
C.G. Jung Pychologie et éducation, éd. Buchet Chastel, 1995, p. 247 |
« Portail:Psychologie/Articles liésCompulsion de répétition »
Vous pouvez aussi retenter votre chance.Votes en cours | |
Aucun article actuellement. En proposer un ? |
Un symptôme représente une des manifestations subjectives d'une maladie ou d'un processus pathologique, tel qu'exprimé par le patient. En général, pour une pathologie donnée, les symptômes sont multiples, elle peut même ne pas présenter de symptôme : elle est dite dans ce cas asymptomatique. Inversement, un même symptôme peut très souvent être attribué à différentes maladies : on ne peut donc conclure automatiquement d'un symptôme (par exemple, avoir mal à la gorge) à une maladie (par ex., la grippe) ; c'est commettre le sophisme de l'affirmation du conséquent.
Ils s'opposent aux signes cliniques, qui sont des manifestations objectives de la maladie, relevées par le médecin.
Les symptômes sont donc pour le patient les éléments d'alerte d'un processus pathologique en cours, motivant ainsi le recours à une consultation médicale permettant d'objectiver la plainte en retrouvant des signes, qui, rassemblés en syndrome puis en maladie, permettront de guider l'attitude thérapeutique.